Texte de nous!!!!!!!

Wala le principe!!! vous devez continuez la phrase ci dessous selon votre inspirations! on le fera à tour de rôle!


Un jour, je me promenais tranquillement dans le parc quand je vis....


A vous!

dsl les filles mais je me suis perdue...... vous pouvez m'expliquer qui dit quoi pour que je puisse continuer??? ........

depuis quel texte tu es perdue ?

(Mika t'as mélangé les temps, on le fait au passé simple!)


Lorsque je me réveillai, je m'arpercus que je n'était plus dans le parc, mais dans un lit à baldaquin. Je me trouvais en fait, dans une pièce qui avait tout d'une chambre royale. Je me levai précipitemment et me dirigeai vers un miroir que j'avais apperçut.

Et là, je ne put me reconnaître.

Mes cheveux autrefois blonds tiraient à présent sur le roux, et j'étais vêtue d'une longue robe verte, élégante.

J'étais là à me contempler quand on entra brusquemment dans la chambre.

Je vis arriver un jeune homme. Il était grand, avec des yeux gris qui contrastaient agréablement avec le noir ébène de ses cheveux.

Il s'approcha de moi, pris ma main et la baisa:

"Vous vous souvenez de moi?"demanda-t-til."Je suis Arthur Andrews, pour vous servir."

Il se redressa, me regarda dans les yeux, puis sourit:

"Bon retour parmis nous, Princesse..."

A vous!

-d'accord, alors dorénavant je vous appelerez "mademoiselle délicate". Cela vous suffit princesse?
-aaaaaaaah! mais arretez! et puis ne vous moquez pas de moi!

-oh et puis vous ne me donnez meme plus envie de vous raconter votre propre hitoire! je préfere encore vous laisser dans l'oubli de votre personne!
Il se retourna brusquement et commenca a s'en aller.Prise d'une panique soudaine, je m'écriai:

Arthur me regardait avec un regard effrayé...Quand à moi je ne me rendais pas compte de ce qui venait de se passer.
-Pourquoi...Pourquoi sont-ils tous mort...Vous étiez seul et blessé...Jamais, quelqu'un...Vous n'avez pas...
-En effet, haleta-t-il,moi non, mais vous si, c'est pour cela qu'on m'a envoyé vous chercher... Ces hommes n'étaient qu'une petite partie de ce qui nous attend...Maintenant qu'ils connaissent votre visage, je ne vois que la solution de secour...
-Quelle solution?
-Fermez les yeux, je m'en occupes.
Préferant éviter un conflit je lui obéissait, il marmonna d'étrange paroles, un vent chaud m'entoura, quelques secondes plus tard j'ouvris les yeux, Arthur était assi par terre, épuisé.
-Regardez vous, dit-il en me désignant une flaque d'eau claire.
Intriguée, je me dirigeais vers ce miroir naturel et là...
Ce n'étais plus moi, même si c'était moi, j'étais à présent dotée d'une longue chevelure noire attachés en un chignon lâche, retenue par un diadème d'argent representant des feuilles de lière, des yeux bleus comme l'azur, une peau blanche comme la neige et une bouche rouge sang, mon visage était différent, mes traits s'étaient affinés me donnant une apparence presque inhumaine, je regardais mes vêtements, eux aussi étaient différent, j'étais vêtu d'un haut aux manches amples et d'une jupe mi-longue, quand aux chaussures, elles étaient devenues des petites ballerines, tout en noire...
-Mais qui êtes vous réelement, soufflais-je à Arthur.
-Vous le saurez bien assez tôt, venez nous n'avons pas de temps à perde, on vous attend au chateau!
-Un chateau...il n'y a pas de chateau dans les environs voyons!
-En effet, il n'y en a pas de visible...Aux yeux des êtres humains.
Arthur se leva tenant son épaule douloureuse.
-Ne bougez pas, dis-je calmement en m'approchant de lui.
J'attrapas un morceau de sa chemise et pansait son épaule.
-C'est pas grand chose, mais ça vous évitera de perdre trop de sang.
-Merci bien princesse, venez, repartons, la route n'est plus très longue...

ATTENTION! ROMAN!

Le trajet s'éternisait. Pour tuer l'ennui, je me mis à questionner Arthur:"Dites, pourquoi je change d'apparence, comme ça?
Il me regarda, amusé.
-Tu sais, dans les royaumes souterrains, tout le monde a un pouvoir plus ou moins puissant. Moi, je peux transformer la matière, jusqu'à une certaine limite. Et là, Princesse, je suis au regret de te dire que j'ai épuisé toute ma réserve de mana, et que tu vas devoir te coltiner cette apparence encore longtemps. Ou du moins jusqu'à ce qu'un mage aussi puissant que moi prenne le relais. Alors essaie de ne pas te faire remarquer jusque là, finit-il sur un clin d'oeil.
-Les royaumes souterrains? continuai-je, nullement impressionnée.
-Oui, nous sommes ici sous la Terre, Princesse.
-Quoi?! Sous la Terre? Mais, et ce soleil? Et ces rivières? C'est quoi?! commençai-je à paniquer.
-Ho! Du calme! Ca, se sont les élémentaliens qui en sont à l'origine.Ce sont aussi eux qui les entretiennent.
-Les élémentaliens? fis-je, calmée.
-Oui. Il y a deux sortes de personne. Ceux qui contrôlent les éléments -qui se divisent eux-même en quatre castes- et ceux qui maîtrise la matière. C'est d'ailleurs l'origine de nombres de petites guérillas qui se finissent immanquablement sans vainqueurs ni perdants, parce que les élémentaliens ne peuvent pas vivre sans les créateurs, et vice-versa.
-Ha. Et moi, je suis quoi? demandai-je après un silence.
-Si tu es bien celle que je crois, alors tu n'es ni l'un, ni l'autre. Tu possèdes peut-être les deux forces, ou peut-être que tu es l'instigatrice d'un nouveau pouvoir, rêva-t-il. Mais nous verrons ça arrivés au château.
Nous nous tûmes un instant. Puis, un détail me revint à l'esprit.
-Pourquoi m'avoir emmenée dans ce château, si nous étions en danger?
Il me regarda, surpris, puis son visage s'assombrit.
-En théorie, c'était sensé être sécurisé. Mais je soupçonne ce roi d'être de mèche avec tes poursuivants. Le problème, c'est que nous ne savons même pas qui te veux du mal, ni pourquoi. C'est là qu'intervient Arthur Andrew. Il doit lui tirer les vers du nez. Il nous rejoindra dès que nous serons là-bas, pour nous livrer des informations.
-Et comment fera-t-il pour faire parler le roi? m'interressai-je.
-Tu es décidément très curieuse pour une amnésique, se moqua-t-il. Mais bon, comme c'est toi...Arthur est l'amant du roi.
Je déglutis de travers, et me mis à tousser violemment.
-QUOI?!
-Ca te gêne? rétorqua-t-il sur un ton agressif.
-Ben...C'est juste que...
-Que ce sont deux garçons? me coupa-t-il. Et alors? Je sais pas pour le roi, mais Arthur est très beau, intelligent, un peu froid, mais très gentil!
-Pourquoi vous me dites tous ça? Je n'en ai jamais demandé autant. Vous êtes amoureux de lui ou quoi? le taquinai-je avec un air malicieux.
-Co...Comment tu le sais?! s'exclama-t-il, plus rouge qu'une pivoine.
-J'ai dit ça au hasard, mais apparemment, j'ai raison, répondis-je innocemment.
-Heu...Tu...Tu veux bien ne pas le répéter? tenta-t-il, gêné.
Je souris.
-Promis! Et comme vous me plaisez bien, je vais vous aider.
-Bah ça me fait une belle jambe!" ricana-t-il.

Le calme qui s'ensuivit me fit replonger dans ma mélancolie habituelle. Je repensais à la tuerie de tout à l'heure. Je revis les cadavres. Leurs visages étaient déformés par la douleur. Ils étaient morts dans des souffrances incroyables. A cause de moi. Je me mis à sangloter doucement. Arthur s'arrêta, me regarda d'un air compréhensif. Il me prit dans ses bras et me chuchota des paroles réconfortantes:"Là, là, ça va aller. Pleure pas comme ça, Princesse, c'était pas ta faute ce qui est arrivé au château.
Mes larmes redoublèrent.
-Je voulais pas les tuer, je vous jure, je voulais pas...réussis-je à articuler.
-Oui, je sais que tu voulais pas. Dès que je serais en état, je vais t'emmener chez quelqu'un qui t'apprendra à contrôler ton immense force, d'accord?
-O...Oui, suffoquai-je.
-Bien. Maintenant, sèche tes yeux, et en route!
J'obéis, comme une automate, et nous nous remîmes en marche.

Le château des Anders se dressait sur une colline, surplombant la forêt que nous avions traversée. A travers la fenêtre de ma chambre, j'apercevais un immense lac à l'eau limpide, et les oiseaux venaient manger dans ma main les graines que je leur tendais. Cet endroit avait un arrière-goût de paradis. Je m'y sentais bien.
Tout à coup, Arthur entra dans ma chambre, accompagnée d'une jeune fille qui lui ressemblait traits pour traits. Sa chevelure flamboyante était regroupé en une longue natte, et des mèches rebelles venaient délicatement encadrer son visage fin. Sa silhouette svelte et son corps athlétique lui donnaient une démarche gracieuse et souple. Mon compagnon de voyage fit les présentations.
"Princesse, je te présente ma soeur Anaëlle. Nous serons tout les deux tes gardes du corps, à l'avenir.
-Enchantée, Princesse, lança-t-elle de sa voix mélodieuse.
-Moi de même, lui répondis-je, plus timide.
-Anaëlle est un des meilleurs guerriers que l'on ai jamais vu, fit Arthur avec un clin d'oeil. De plus, elle contrôle le feu, ce qui la rend d'autant plus redoutable, ensuite, elle est terriblement belle, et chante admirablement bien, et...
-J'ai hâte de faire votre connaissance, Princesse, le coupa sa cadette. Ne faites pas attention à ce que dit mon crétin de frère, il est complètement gâteux.
-Même pas vrai! s'indigna l'intéressé. Bon, finis les bêtises, continua-t-il, retrouvant un ton sérieux. Laisse nous seuls, s'il te plaît, Anaëlle, je dois encore lui dire deux dernières choses.
-Bien", obtempéra-t-elle.
De nouveau en tête à tête, Arthur pris la parole.
"Les guérisseurs ont fait du bon travail. Demain, je t'emmène voir l'oracle.
-Pourquoi suis-je poursuivie ainsi? l'interrogeai-je soudain.
Il me dévisagea, perplexe.
-Je t'ai déjà dit que je n'en savais rien. L'oracle m'a juste demandé de venir te cueillir sur Terre, dès qu'il a su où tu te trouvais. Pour lui, tu es très importante, mais il n'en a jamais révélé la raison à personne.
-Et qui est cet oracle?
-Ca, tu le découvriras demain, me sourit-il. Ha oui, au fait, commença-t-il, plus embarrassé. Arthur doit normalement arriver ce soir, donc, heu...ben...je compte sur ta discrétion...
J'éclatai de rire.
-Ne t'en fais pas pour ça, je ne dirais rien.
-Merci, balbutia-t-il. Bon et bien bonsoir, finit-il en reprenant la contenance qu'imposait son rang de noble.

Désolée pour le yaoi, j'ai pas pu m'empêcher!XD

lorsque je continua mon chemin, l'odeur du sang et cette ambiance lugubre ne faisaient que s'accroitre. Chacun de mes pas acceleraient les battements de mon coeur et la nausée me revint. arthur me dit d'avancer jusqu'a une estrade noire que le lierre avait commencé d'envahir et au milieu se dressait un trone qui, je pense, fut coloré avec du sang.

ma vision brouillée par l'odeur de la mort, je m'avancais. soudain, je m'arretais, terrifiée. une voix plus froide qu'un glacier, avec la résonnance d'un serpent s'était elevée, me paralisant sur place. j'entendis:
"-comment t'appelles-tu petite?"
je levais les yeux et... je vis une femme!