Je te hais, moi aussi, Va crever...Toi avant...

Je suis née un 5 mars, le même jour je venais de signer mon arrêt de mort et celui de ma mère, je ne le savais pas encore, mais ma vie allait être un enfer dès mon premier souffle et cela jusqu'à ce qu’il disparaisse de ma vie définitivement ou que je disparaisse de la sienne, la vie sera au plus rapide, ce sera une lutte sans pitié et ça je le savais, quand j’ai vu son regard je n’ai pas pu y voir de l’amour, car ce sentiment n’existait pas chez cette personne, dans son regard n’existait que la haine, la colère et la jalousie qui le dévorait. Comment a-t-elle pu le supporter, elle, qui était si douce et lui qui était si violent, l’amour rends bête et cela j’ai pu m’en apercevoir dès que je l’ai connu, lui, mon père…
Lui, il s’appelle Davis, c’est un homme d’affaires pas vraiment net, avec une maîtresse dans chaque ville, autant de dealer et d’associés peu fréquentable. Lui ne m’a jamais voulu, pendant mon enfance il était tout le temps absent, il évitait ma présence car je le dérangeais plus qu’autre chose, ma mère aussi le dérangeait comme j’ai pu m’en apercevoir au fil du temps. Son grand plaisir était de se taper toutes les filles qu’il croisait, de se défoncer à la coke, de boire jusqu’à en gerber ses tripes et liquider tous ceux qui le gênait.
Ma mère, s’appelait Caroline, elle était une de ses victimes, elle était douce, naïve, forte malgré tout, quand elle a appris qu’elle était enceinte mon père voulait la forcer à avorter de voulant pas d’un mioche dans les pattes, trop encombrant et chiant comme il avait plaisir à le rappeler…
Malgré tout je suis née, moi je m’appelle Malice, comme vous pouvez vous en doutez c’est ma mère qui à choisi ce prénom, mon père lui voulait m’appeler « Vas crever », sur ces mots il a quitté la maternité en fumant ses éternels cigares en appelant Mike, son homme de main si je puis dire.
Mike est un homme d’une quarantaine d’année, tout comme mon père je le déteste, lui il aime passer son temps au casino, gagner un maximum de fric, draguer les croupières, se battre et je m’arrêterais là, car après cela deviens secret.
Les premières années de ma vie furent les plus calmes, je ne comprenais pas tout ce qui se passait autour de moi, et Davis, détestant mes cris de nourrissons nous laissa ma mère et moi à Paris pendant que lui se cassais dans sa résidence à Ibiza, pendant quatre ans je n’ai que rarement vu mon père, jamais un joyeux anniversaire, ni un joyeux noël, pour lui je n’existais pas, un point c’est tout. Il me détestait je décidais donc d’en faire autant.
Il ne revint chez nous que lors de mes huit ans, je n’étais pas étonné de le voir, le teint pâle, des énormes cernes et les yeux explosés, il rentrait tous les soirs puant l’alcool, la fumée et un mélange de parfums pour femme dont les effluves me rendaient malade.
Vous devez vous demander comment Caroline a fait pour tomber amoureuse d’un mec pareil ? C’est ce que je me demande aussi, et malgré mes questions détournées je n’arrive à obtenir quelques réponses, juste un regard furtif et un changement de sujet d’une rapidité étonnante.
A partir de mes dix ans ma mère changeait, elle qui auparavant était si forte et tenait tête à mon père, sombrait dans son piège, chaque soir je l’entendais pleurer dans sa chambre, j’entendais le bruit du whisky sur les glaçons et le bruit du verre cassée lorsque Caroline s’endormait ivre morte. J’entendais Davis rentrer, hurler sur ma mère, j’entendais le bruit des gifles qui tombaient les unes après les autres, sa voix qui le suppliait d’arrêter, ils parlaient en espagnol, langue d’origine de mon père, et lieu de leur rencontre, c’est tout ce que je savais…
Ce manège dura six ans, ma mère repris petit à petit confiance en elle, du moins c’est ce que je croyais.
1 mars, il était huit heure, j’entendais la porte du notre loft parisien se refermer, Davis venait de partir, c’était rare, sûrement un rendez-vous avec une de ses maîtresse. Je fonçais sous la douche pour me réveiller et n’en sortait qu’une demi heure plus tard, ce qui me laissait juste le temps de m’habiller et de préparer le petit-déjeuner. Comme tous les samedi je me levais et préparait le petit déjeuner que j’allais prendre avec ma mère dans sa chambre. Une fois nos thés prêts, je me dirigeais avec le plateau dans les bras et poussait doucement la porte du pied, mais cette fois ma mère n’ouvrait pas doucement ses yeux comme à son habitude, là…Là elle ne réagissait plus, son teint était si pâle, sa poitrine ne bougeait plus…Je me préparais à cet instant depuis cinq ans comme on prépare une compétition mais malgré tout…
Ce mec savait comment faire pour gagner… J’ai lâché le plateau qui tomba à terre dans un énorme fracas et me dirigeait vers ma mère enlevant le garôt à son bras et dégageant les seringues vides qui traînait à ses côtés et je me suis mis à la giflée violement en espérant la moindre réaction…Cette fois il était trop tard. Il l’avait tuée, et il avait réussi à faire passer ça comme une tentative de suicide ou même une simple overdose, quand on l’appellera il fera l’homme inquiet, personne ne se doutera que ce qu’il dira sera un simple jeu d’acteur et personne ne se doutera que je serais la prochaine sur la liste…Je vais avoir seize ans dans quatre jours, et comme cadeau j’allais avoir l’enterrement de ma mère et le regard meurtrier de mon père qu’il me lancera quand tout le monde quittera le cimetière…
En attenant me voila seule en plein Paris le cadavre de ma mère dans l’appartement… J’étais incapable le de réagir à cet instant, mon corps lui eu la réaction de laisser couler les larmes que je retenais, j’attrapas le téléphone une demi heure de pleurs plus tard et composait fébrilement le premier numéro qui me venait à l’esprit.
-Allô
-Allô madame Flies, c’est Mila, dis-je, inaudible
-Mila, que se passe-t-il ?? Tout vas bien ? C’est rare que tu appelles Lia à cette heure la !
-Elle est morte…
-Mila ! Qui est morte !?
-…
-Bouges pas tu m’entends, tu ne bouges pas j’arrives !!!

Ce numéro était celui de Lia, ma meilleure amie, et sa mère me considérait comme sa fille, je pouvais lui confier tout ce que j’avais sur le cœur les soirs où elle buvait trop.
Elle n’avait pas menti, elle est arrivée dix minutes plus tard, je lui ai ouvert la porte les yeux rouges, la pensant seule, mais Lia était là, elle m’a serré dans ses bras pendant que Ilian, sa mère, se dirigeait vers la chambre de ma mère. Je la voyais devant la porte, comme pétrifié par le spectacle qui se passait devant elle. Elle étouffa un cri d’horreur avant de décrocher le téléphone et d’appeler Police Secours. En entendent sa voix entrecoupée de sanglot je me laisser aller à un flot de larmes, Lia me serait contre elle, retenant elle-même ses pleurs, mais ses yeux si brillants la trahissait…
J’étais à présent seule avec mon père, et j’allais bientôt sentir passer mon erreur d’être née…
J’ai passé ma soirée au poste, Davis nous as rejoins feignant l’horreur et le désespoir.
Madame Flies décida que j’allais rester chez elle jusqu’à l’enterrement et que nous allions trouver une solution à tout cela le plus vite possible.
Je suis rapidement passé chez moi chercher quelques affaires en prenant soin de ne pas croiser le regard de mon père qui était en train de nettoyer la chambre afin d’effacer ses preuves je suppose…Il ne me fallu qu’une vingtaine de minutes pour rassembler tout ce qu’il me fallait et une dizaine pour atteindre le domicile des Flies qui se trouvait quelques rues plus loin.
Adam Flies, le père de Lia m’ouvrit la porte et me serra dans ses bras, c’était un homme charmant, j’aurais vraiment aimé l’avoir comme père à la place de cette enflure de Davis. Il me dirigea vers la chambre de Lia et m’apporta une grande tasse de Capuccino qui me brûla la langue, malgré cela ce fut un des rares instants de plaisir que m’apportait cette funeste journée…
Je passais la soirée dans la chambre d’amis, enfermée, dans le noir, je ne pouvais abandonner cette vision de ma mère si pâle, si belle, malgré tout, je la revoyais calme, les yeux clos et endormie sur son lit, je la voyais si sereine, comme elle ne l’avait jamais été depuis longtemps, un instant je soupirais presque de bonheur, elle était enfin en paix, mais quand je me confrontait à la triste réalité, je pleurait comme une fontaine, si bien que les larmes finirent par manquer, me laissant blafarde avec deux énormes cernes et les yeux rouges.

*chiale comme...... une fontaine...*

eeh ... mer** ..... aararrrrgg !!!! yeeen aa maaaaareeuuuh !!!! POURQUOI C'EST AUSSI TRISTE !!!! TT-TT

*et c'est repartit pour un tour.....*

eet zuut..... j'ai mouillé ma feuille..... rrraaah.....

LAAAAAA SUUIIIITEE !!!!!!!! si y en a une

c'est ..... trop ....... triiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiste !!!!!!! si ça continue comme ça je vais inonder la maison !!!

la suite (si y en a une comme dit ma-chan)

J'aime Une suite Yaone!

Yao-chan... tu sais ce que je vais te dire.... que J'adore, que c'est trop triste, mais... UNE SUITE.... Je veux voir la suite c'ets si triste, c'est magnifique, c'est .... J'adore...

allez hop la suite

J’ai du finir par m’endormir… Car le soleil m’a réveillé… Je suis lentement descendu du lit et je me sui dirigée vers la cuisine, l’heure qu’il est ? Je n’en sais rien… Je traverse le salon, le silence règne, mes pieds nus sont gelés par le carrelage de ma cuisine, je commence à fouiller dans les placards sans savoir ce que je cherche… Je finis par me faire un café et j’attrape un morceau de fondant au chocolat, je n’ai pas faim, je reste ainsi les yeux sur ma part, écoutant le tic tac régulier de l’horloge indiquant 5h45. J’observe mon café qui refroidit…
J’ai l’impression d’être une loque, je me regarde dans la porte d’inox du frigo… Je suis une loque, je suis pâle, cernée comme un mort vivant, sans aucune expression, je me fais peur.
Ma contemplation s’arrêt lorsque j’entends des pas…la porte qui s’ouvre, qui se referme…Les pas se dirigent vers la cuisine, je retiens ma respiration sans savoir pourquoi.
La porte s’ouvre doucement et je vois Yann rentrer. Ses yeux s’ouvrent en grands, apparemment personne ne l’a prévenue que j’étais là… Ils me regarde quelques secondes avec ses grands yeux verts si beaux et se dirige vers moi, il attrape une chaise et s’asseoit à mes côtés. Normalement, j’aurais été surexcitée de le voir, mais là rien, je me remets à contempler mon café froid… Nous sommes rester silencieux pendant 2 minutes qui semblaient durer des heures… Puis il attrapa ma main et me sera dans ses bras. J’en ai toujours rêver, j’aurais du avoir une autre réaction, j’attend cela depuis des mois… Quelle idée de tomber amoureuse…
Mais là, rien, pas même un sourire… Je l’entends juste me murmurer un « désolé » dans un souffle. Il n’en fallait pas plus pour que mes larmes reviennent, j’entoure Yann de mes bras et le serre du plus fort que je peux… Que vais-je devenir ?
Combien de temps sommes nous rester ainsi ?
5, 10, 15 minutes ? Tout ce que je sais, c’est que je ne voulais pas le lâcher, il m’a attraper par la main, nous avons monter les escaliers en silence et sommes rentrés dans sa chambre, je me suis assise sur son lit, lui en face de moi, sur la moquette. J’ai attrapé sa guitare sèche et ai commencé à esquisser quelques notes… Il me regardait, silencieux, dans son regard je pouvais lire la raison de sa venue.
Yann suis des études à Bordeaux, ses parents l’ont appelés hier soir pour lui dire que je serais là quand il rentrera… Il leur a demandé pourquoi, il a pris sa voiture et est rentré…
Il a toujours pris soin de moi, comme un frère, il ne s’est jamais douté que pour moi il était bien plus que ça…

!! troooooop bieeeen !!

la suite la suite !! ^^

J'aime beaucoup l'idée d'une relation complexe avec une personne du sexe opposée. Surtout si la fille est fragile et déprimée. Continue yaone, j'adore ton histoire.

Notre entrevue silencieuse cessa quand cela devenait trop lourd, il ne savait quoi dire, mais il chercha un sujet à aborder. Il attrapa son mp3 et me le colla sur les oreilles, sans réfléchir, je fermais les yeux et me laisser aller à cette douce mélodie qui envahissait mon esprit, dans les paroles une certaines mélancolie sans qu’elle soit déprimante, dans les trois dernières notes je découvrais une lueur d’espoir. Cela m’a semblé si long, ce temps sans un sourire, que j’esquissais celui-ci en m’en délectant comme si c’était le dernier.

-Tu es beaucoup plus jolie lorsque tu souris, souria-t-il. Alors comment la trouve tu cette chanson ?
-Magnifique…
-Heureux qu’elle te plaise, je l’ai écrites en pensant à une personne que j’aime beaucoup, mais qui malheureusement souffre sans que je ne sache quoi faire.

Son sourire disparaissait petit à petit, ses yeux me fixaient, ils retenaient ses larmes.

-Je regrette de ne pas avoir été plus présent, excuses moi Mila…
-Pourquoi s’excuser, tu ne peux rien faire, tu n’aurais pas prédis ce qui allait arriver, moi-même je n’ai rien fait de vraiment utile pour elle…
-Tu as été là pour elle, tu l’as aimé…
-Pas assez je le crains…

Tellement de souvenirs, trop nombreux, trop vite, trop importants, trop d’émotions… Je craque encore et encore… Je retiens mes larmes et je me dirige vers la porte en vitesse, mais Yann n’est pas con, loin de là, il me connaît aussi bien que sa sœur. Avant même que j’ai pu toucher la poignée, sa main serre mon bras et me tire vers lui. Son regard est foudroyant, presque effrayant, il ne plaisante pas, pour la première fois je le vois pleurer, de rage, de colère, de tristesse ? Je l’ignore, je suis tétanisé par cette réaction. Une seule chose me traverse l’esprit, j’attrape sa main et je me mets à pleurer avec lui, la tête enfouie dans son torse je me laisse aller, ses bras m’enserrent avec force, je ne peux plus bouger, je n’en ai pas l’intention, j’attendrais sa dernière larme comme on attend la fin d’un film. Peu à peu, je sais sa respiration se faire plus calme, son cœur bas normalement annonçant la fin de la tempête. Son T-shirt est trempé d’un flot salé et mes larmes dégoulinent silencieusement. Il s’écarte, attrape mon visage dans ses mains et essuie le passage des derniers torrents. Je me sens gênée d’être ici… Je viens de me faire de faux espoirs.
Un bruit de téléphone se fait entendre, c’est celui de Yann, il observe le nom qu’indique l’écran avant de décrocher.

-Allô ? Bonjour Anna, comment tu vas ? Oui, je suis bien rentré à Paris… Je t’expliquerais plus tard pourquoi je suis parti si vite, je suis désolé ma puce… Je ne sais pas quand je rentre, quand tout sera réglé sûrement, tu n’as qu’à monter sur Paris si tu veux ! Ok pas de problèmes ! J’espère bientôt te revoir, tu me manques déjà… Moi aussi je t’aime, je t’embrasse.

Il raccroche… Anna, voilà le nom de celle qui profites de son amour, quelle chanceuse, connaissant Yann elle doit être très belle.

-Je suis désolé, je pouvais pas ne pas décrocher.
-Oh ! C’est pas grave, c’était ta petite amie ?
-Oui… murmura-t-il un peu gêné.
-Yann enfin, je ne te connaissait pas aussi timide, racontes moi tout, comment est-elle ? Vous êtes ensemble depuis combien de temps ? Racontes, ça me changera les idées.

Feindre l’innocence… Bonne chance Mila…

- Anna est… Par où commencer… Elle à 19 ans comme moi, elle est brune, très mince et élancé, elle est très belle, elle travaille comme mannequin pour des magazines, elle est avec moi en fac de médecine.
-Belle, intelligente… On ne se refuse rien à ce que je vois, tu as une photo ?
-Je dois avoir ça, je te cherche ça !

Il alluma son ordinateur pendant que j’observais ses dessins accrochés aux murs, parmis eux des dessins d’enfants, des dédicaces d’auteurs, des dessins de lui.

-Tiens regarde, c’est elle.

Je m’approchais de l’écran et je découvrais une jeune fille aux longs cheveux noirs, aux yeux en amandes vert émeraude, une peau blanche, une silhouette parfaites et des jambes interminables, simplement vêtue d’une robe en mousseline beige, jugé sur des talons hauts noirs, une ombrelle à la main et ses yeux cernés de noir et une bouche légèrement irisée, sa longue chevelure semblait comme portée par le vent. Je restais le souffle coupé devant cette jeune femme.

-Elle est belle non ?
-Sublime…
-Ce n’est pas une de ses plus belle photos, attend je te montre.

Il fouilla quelques secondes dans ses dossiers et en ressortis une image très simple, la jeune fille semblait en être une autre, simplement vêtu d’un jean et d’un pull pour homme, ses cheveux coiffés très simplement en queue de cheval, sans maquillage, assise sur un rocher avec la mer brillant dans le fond comme dans un rêve. C’était une toute autre femme, elle paraissait plus fragile, son sourire était incroyablement doux, je n’avais jamais rien vu d’aussi incroyable que cette photo en noir et blanc.

-Elle semble tellement irréelle… Cette photo est incroyable…
-Elle te plait ?
-Oui beaucoup !

Il se retourna, attrapa un dossier cacher derrière son bureau et en tira une feuille A4.
Sur ce papier photo était imprimé cette image que j’aimais tant, je l’attrapais avec délicatesse et dessinait les trais du visage d’Anna du bout du doigts comme si j’avais peur qu’elle se brise comme le ferait une poupée de porcelaine.

-C’est la première photos que j’ai fait d’elle lors d’un week-end en Bretagne.
-C’est toi qui a fait ces photos !!
-Eh bien oui.
-J’suis amoureuse. De tes photos bien sur !

C’est ça continus de sourire, fais l’innocente, bien tu es sur le bon chemin, continus comme ça !

-Ravis de l’entendre ! Si tu veux j’en ai plein d’autres !
-Je serais enchanté de les voir !
-Comme il te plaira.

J’attrapais le tas de photo que Yann me tendait et je plongeais dans son monde, celui qu’il voyait lui. Un voyage vers un imaginaire plus beau que la réalité…

j'aime beaucoup, c'est trop bien écrit, moi je suis jalouse!

c'est beau ... la suite please

c'est.... magnifique....je n'en crois pas mes yeux.... yaone, si un jour tu te retrouve sans boulot, devient ecrivain..... quel best seller je reve.....c'est vraiment sublime.... si triste...... si beau.......la suite a interet a etre tout aussi belle!